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Blog de Aliko
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24 novembre 2008

C-D L'aide au suicide.

Le procès au Québéc d'un homme accusé d'avoir aidé son vieil oncle se tuer se re-ouvre mardi. Le spotlight revient sur le grand sujet du suicide assisté.

Stephan Dufour, 30 ans, a été chargé d'avoir aidé son oncle dans son suicide. Chantal Maltais s'est pendu en septembre 2006. À 49 ans, Maltais souffrait d'une distrophie musculaire depuis l'âge de quatre ans et a été confiné à une chaise roulante.

Dufour qui prenait soin de son oncle pour plusieurs années, a été arrêté en Mai 2007 après une longue investigation policière

Plusieurs membres de la famille de Maltais ont supporté la décision de Dufour en disant que son oncle souffrait beaucoup, et qu'il avait tenté de s'enlever la vie plusieurs fois.

Dufour plaide non-coupable et son procès commencera mardi dans un court, quelques 250 kilomètres nord-est de la ville du Québec, avec une selection de jury. Le procès prendra au moins deux semaines.

Les avocats de Dufour disent que c'était la première fois qu'un cas de suicide aidée se présente devant un jury québécois. Il y en a eu trois autres cas, mais ils ne sont jamais présenter devant un tribunal.

En octobre 2006, Andre Bergeron a admis avoir tuer sa femme très désabilitée, mais un juge lui a enlever son temps en prison.

Plutôt la même année, Marielle Houle a plaidé coupable d'avoir aidé son fils dans son suicide et a été sentencé à trois ans de probation. Elle dit qu'elle avait suivit des instruction de son fils Charles Fariala, qui souffrait de 'multiple sclerosis.' Dans les deux cas les accusés ont plaider coupable.

Dans d'autres provinces, les cas de suicides assistés se sont rendu devant un tribunal. Les procès finissaient avec un aquittement ou in reduction de sentence. En 2004, Evelyns Martens, une grand-mère en Colombie-Britannique a été trouvée non-coupable d'avoir aidé deux femmes terminalement malades a commettre un suicide.

Les suicides ont étés décriminalisés en 1974, mais aidé un suicide est un crime puni par un maximum de 14 ans.

Arthur Schafer le directeur du centre d'éthiques professionnels et appliqués de l'université de Manitoba, nous dit que, outre les lois et preuvesm les juries canadiens refuse de de punir quelqun chargé de commettre ce crime lorsque le patient était réelement souffrant et avait demandé de l'assistance pour avancer son temps de mort.   

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